« Assistance Médicale à la Procréation : quand ça ne marche pas », dans les Maternelles sur France 5

L’infertilité touche, hélas, 1 couple sur 6.

Et derrière l’AMP, se cache une réalité dont on ne parle pas suffisamment, tellement elle est difficile à accepter.

Bien des couples se retrouvent au bord de la route et ne verront jamais leur projet parental réalisé.

  • Comment faire le deuil d’un enfant qui ne viendra pas ?
  • Quelles sont les différentes étapes de ce deuil ?
  • Deuil de quoi, exactement ?
  • Des « ailleurs » possibles ?
  • De l’espoir au désespoir, de l’optimisme au pessimisme… Quelles sont les limites ? Quand arrêter le parcours ?
  • Peut-on véritablement accepter de ce grand mal qui nous « brise » de l’intérieur ?
  • Comment se remet-on d’un échec en don ? (Avec le témoignage de Julie, je me suis revue l’année dernière… après notre échec en don) ?
  • Comment repenser sa vie ?

Une émission intéressante à voir et faire tourner… pour que l’AMP ne reste pas un mythe malgré les techniques médicales et scientifiques qui ne cessent d’évoluer, fort heureusement, et les quelques 200.000 enfants nés par FIV en France par an.

Ca commence à la 28ème minute, ça dure un peu moins de 35 minutes et ça se passe ici.

Merci et bravo à Julie et Lydia pour leurs précieux témoignages !

17 réflexions sur “« Assistance Médicale à la Procréation : quand ça ne marche pas », dans les Maternelles sur France 5

  1. Elle était bien cette emission. J’ai beaucoup aimé les interventions de la psy, qui pour une fois n’a pas sorti d’imbécilités type « c’est psychologique ». Dommage que le sujet n’ai pas été un peu plus long/profond (le quotidien d’un protocole, etc)

  2. Je me suis demandée si c’était des blogueuses. Dommage car les interventions étaient très touchantes et ca aurait été sympa d’échanger avec elle d’autant que Julie est en Alsace. Je retiens aussi les interventions de la psy vraiment pour une fois très justes ! Vraiment bien cette émission.

    • Oui, mais il faut dire que c’est difficile d’approfondir davantage un sujet si douloureux. C’est déjà bien qu’on commence enfin à en parler… de plus en plus…

      Moi aussi, de sentir ma fille taper des pieds et des mains (elle n’a plus de place, la pauvre !) m’a fait, une fois de plus, réaliser combien je suis chanceuse… Il n’y avait pas plus de raison que ça marche sur cette tentative que sur les précédentes… Ô joie, ô bonheur…

  3. Pour une fois… rien à dire tellement en si peu de temps cette si douloureuse épreuve a été bien traitée… (bon si ok, une chose, pas trop aimé le discours/constat de l’épidémiologiste). Parfait ! Réel… douloureusement réel…

    • Douloureusement réel…
      C’est étrange. Même à quelques jours/semaines du terme, je n’arrive pas à passer à autre chose. Même si aujourd’hui, je suis une femme comblée, nageant dans un bonheur sans nom… la PMA est avec moi, tous les jours, tout le temps…
      J’aimerais tant que toutes soient exaucées… et en même temps, je sais que l’acceptation (le deuil ?) ouvre de très jolies perspectives de vie…

  4. Effectivement bonne approche mais un peu court. Je me rapproche tout à fait de Julie et du fait qu’à un moment il faut savoir dire stop car c’est une histoire sans fin : une course à l’espoir qui est très dure. Cette notion de soulagement et de reconquête de son corps est aussi très vrai lorsque l’on a décidé d’arrêté : pour moi cela a été regime , reprise du sport et projet a deux : voyage, mariage….définir un nouveau projet de vie; une vue a deux ou finalement et bien nous allons en profiter ! Même si… On se demande toujours « pourquoi nous n’avons pas droit à ce bonheur … ».

    • Je me demandais justement où vous en étiez. J’ai la réponse.
      Bravo pour cette décision. Décision qui est la suite logique de tout un cheminement, d’un parcours long et compliqué.
      Puisse la vie vous sourire. Le bonheur est tout proche.

  5. merci merci pour ce magnifique article! moi je suis en PMA depuis et la seule issue reste la GPA, peut-on la faire légalement au canada? ukraine ou en belgique svp? on m’a parlé de Cryos en espagne ou Feskov clinic en Ukraine?

  6. je suis émue de lire votre page PMA, car je suis dans les FIV depuis longtemps sans suite, à Bordeaux mon gygy m’envie en GPA comme ultime recours au vue de mon endométriose sévère et des OPK, que pensez-vous svp des législations GPA en belgique ou en espagne avec Cyos ou ukraine avec A. FESKOV clinic???

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